En respirant les odeurs, celles-ci vont pénétrer dans le corps par capillarité sanguine, afin de nourrir le noyau cellulaire par l’inhalation. L’Olfactothérapie part du principe que l’odorat est le sens le plus intimement lié à nos pulsions, nos souvenirs et nos émotions.

 

La respiration d’un parfum a une connotation très subjective. Tout le monde n’aura pas la même réaction face à une odeur, tout dépend de ses goûts et de son expérience. Concernant vos penchants olfactifs, trois cas de figure sont possibles : soit vous aimez l’odeur, dans ce cas-là vous en avez besoin. Soit vous n’aimez pas l’arôme, alors vous en avez encore plus besoin. Enfin, si l’odeur vous est indifférente, cela signifie que votre corps n’est pas en demande.
 

L’Olfactothérapie cherche l’origine de la souffrance et de la dépendance à une odeur. Une fois que le patient a déterminé les odeurs qui lui correspondent, il peut les respirer 3 à 4 fois par jour. Progressivement, le nez s’habitue à l’odeur qui lui semblait désagréable, jusqu’à ne plus rien sentir.

Et si le corps est en manque d’un parfum, le fait de l’absorber aidera la personne à se sentir mieux. Concernant les douleurs physiques, par le toucher et l’odorat, les odeurs vont directement atteindre l’organe fragile.

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